Il était une fois Pikes Peak. Une course de côte dans le Colorado où seuls les fous, les suicidaires ou les pilotes surhumains étaient acceptés (souvent ils étaient les trois en même temps).

Une course sprint de presque 20 kilomètres présentant 156 virages et un dénivelé positif de 1440 mètres. Soit une moyenne de 7% de dénivelé… oui, pendant 20 kilomètres.

La recette miracle de cette épreuve ?
De la terre, des variations climatiques, des précipices de plusieurs centaines de mètres de haut, une boite manuelle et une grosse paire de c*uilles en béton armé pour oser parcourir l’épreuve pied(s) au plancher dans des voitures qui, en moyenne, développent pas moins de 1 cheval/kg  ?

Si tu ne vois toujours pas de quoi je parle, regarde Ari Vatanen, vainqueur en 1988, boucler l’épreuve.

Mentions spéciales aux passages à 2 min 10, 3 min 26 et 3 min 50 si ne fallait en choisir que trois.

(issu du film Climb Dance de Jean-Louis Mourey)

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